Les épices et les herbes permettent d’apporter une signature distinctive aux plats. Le « je ne sais quoi » qui fait toute la différence. Mais au moment d’aromatiser ce beau jambon à la bière, on hésite : baie de genièvre ou feuille de laurier… Ou les deux?
Voici quelques astuces pour contrer le doute et rendre nos repas mémorables:
Si on se lance sans recette, il est presque impossible de se tromper si on opte pour un aromate de base, auquel on ajoute, au goût, une pointe de piquant. Un exemple : on glisse sous la peau d’un poulet à rôtir quelques branches de romarin et on badigeonne avant cuisson d’un peu d’huile d’olive additionnée de moutarde de Dijon.
On garde en tête que si la saveur des épices est magnifiée par la cuisson, les herbes fraîches, elles, gagnent souvent à être ajoutées au dernier moment pour garder leur arôme.
Une exception ? Le laurier !
Les épices entières se conservent mieux et rendent le maximum de saveur quand on les moud soi-même. C’est facile : il suffit d’un mortier ou d’un second moulin à café destiné à cet usage.
La plupart des herbes se cultivent facilement dans une boîte à fleurs. En fin de saison, on conserve l’excédent au congélateur. Pour se simplifier la tâche, on les hache, les mêle à un peu d’huile d’olive et on les congèle par portion dans des bacs à glaçons.
En principe, les épices et les herbes séchées se conservent bien dans un contenant fermé et opaque pendant au moins un an. Mais pour savoir, hors de tout doute, si une épice est toujours bonne, on se fie à notre nez !
En principe, les épices et les herbes séchées se conservent bien dans un contenant fermé et opaque pendant au moins un an. Mais pour savoir, hors de tout doute, si une épice est toujours bonne, on se fie à notre nez !